Doria D a grandi en musique, accompagnant sa grand-mère sur les scènes de village en Wallonie dès l’âge de six ans. Adolescente passionnée de guitare électrique et influencée par le grunge et le garage-rock, elle a souvent joué dans les bars locaux, en solo ou en groupe. Il y a trois ans, son premier EP « Dépendance » a connu un succès grâce au single éponyme sur TikTok, la propulsant rapidement sur les grandes scènes de Belgique. Aujourd’hui, elle nous partage son tout premier album : Je cherche encore.. View this post on Instagram A post shared by Doria D (@doria.music) D’une voix douce et acidulée avec une inflexion soul., Dora a enregistré en une semaine. Au fil des titres, DORIA D explore toutes les questions liées à la santé mentale au sens large : l’angoisse et le mal être (MOROSE), l’impact de ces angoisses sur le corps (DANGER), le besoin d’être aimée et l’importance du regard de l’autre (TON REGARD), trouver l’équilibre entre ce qui nous fait du bien et ce qui nous fait du mal (COUPS ET BISOUS). A écouter ici Refusant de jouer selon les règles sociétales, Doria se décrit comme « un esprit torturé dans un monde absurde ». Sa musique est une série de petits mémos pour aller mieux. « Colère » aborde le tabou de la colère féminine : « Je gardais ma colère à l’intérieur… mais à un moment donné, j’ai dit stop ! » En résumé, l’album reflète ses questionnements solitaires, comme en témoigne le single « Questions« . « Je me pose sans cesse des questions sur tout… il y a des questions auxquelles je ne saurai jamais répondre, » confie-t-elle. L’album se clôt sur « Entropie« , inspiré par sa passion pour les sciences. « Puisque tout tend vers le chaos, le désordre… j’ai envie de profiter de chaque instant, » explique-t-elle. Cette quête de sens, aussi intime qu’universelle, est une invitation à combler les blancs derrière les trois petits points de « Je cherche encore… ». Laisser un commentaire Annuler la réponse.